Emilien Jacquelin Copine
Emilien Jacquelin Copine – À Pékin, Émilien Jacquelin disputera ses deuxièmes Jeux olympiques. Apprenez-en davantage sur l’histoire de la vie du biathlète français de 26 ans, notamment sur sa famille, ses récompenses et bien plus encore.
Biographie personnelle Pierre-Emile Jacquelin. C’est à Grenoble, située au pied des Alpes Rhône-Alpes, qu’Émilien Jacquelin est né le 11 juillet 1995. Même s’il s’est essayé au ski de fond, Emilien a préféré le vélo car il voulait être comme ses frères. Il a commencé à faire du sport dès son plus jeune âge et est rapidement devenu obsédé par ce sport.
Après avoir attrapé la mononucléose, il rejoint le centre de ski de fond Espoirs de Grenoble, où il s’entraîne à des sports comme le cyclisme. D’accord, je me suis dit ce jour-là ; rouler n’est pas pour moi ; Je vais continuer à skier. Plutôt qu’un biathlète raté, il a avoué à Franceinfo en 2020 avoir échoué en tant que motard.
Les Grenoblois ont débuté la compétition internationale en tant que junior en 2013 et ont fait leurs débuts lors de la saison 2015-2016 de la Coupe IBU, la compétition mondiale de biathlon de deuxième niveau. Le 23 novembre 2017, il remporte son premier tournoi.
Ce qui lui vaut sa sélection en équipe de France pour le tour préliminaire de la Coupe du monde 2017-2018. Émilien Jacquelin a été élu débutant de l’année par l’Union Internationale de Biathlon (IBU). Il a été choisi par la France pour participer aux Jeux Olympiques de Pyeongchang.
Le champion du monde, Emilien Jacquelin
Après une campagne 2018-2019 respectable (24e au classement général), le Grenoblois réalise un tournant décisif l’année suivante en remportant non seulement sa première course individuelle, mais également le championnat du monde de poursuite, marquant ainsi son premier triomphe individuel.
Il a ensuite remporté un deuxième titre de relais chez les hommes. Il remporte le petit globe de cristal de la poursuite pour la première fois de sa carrière et termine la saison à la cinquième place du classement de la Coupe du monde, ce qui constitue son meilleur résultat à ce jour.
En 2021, Émilien Jacquelin bat non seulement son record personnel au sprint, mais il devient également le champion du monde en titre de la poursuite. En 2020-2021, il a connu une saison moins mouvementée et a terminé septième au classement général.
A l’inverse, le Grenoblois réalise un bon début de saison 2021-2022 et prend le maillot jaune à l’issue de l’étape du Grand-Bornand, en tête du classement général de la Coupe du monde devant un autre Français, Quentin Fillon-Maillet.
Quel est le succès d’Émilien Jacquelin ?
Compte tenu de sa jeunesse, Émilien Jacquelin a déjà accompli beaucoup de choses. Le Grenoblois a remporté trois médailles de bronze aux Championnats du monde et a remporté deux fois l’épreuve de poursuite (2020 et 2021).
Ils ont également remporté une fois l’épreuve de relais (2020). Bien qu’il ait participé à un petit globe de cristal de poursuite lors de la Coupe du monde 2020, le biathlète français a obtenu le meilleur classement général, soit cinquième. Sur le plan individuel, il compte trois victoires et 33 podiums.
La paie d’Émilien Jacquelin, puis-je me renseigner ?
Emilien Jacquelin, comme tous les biathlètes, est rémunéré en fonction de ses performances sur les skis. L’Isérois a ainsi reçu 183 500 euros de la dotation de la fédération internationale de biathlon pour la saison 2019-2020, lorsqu’il s’est classé cinquième au classement général. Cette somme ne tient définitivement pas compte du soutien privé du biathlète français.
Avec qui Émilien Jacquelin entretient-il actuellement une relation amoureuse ?
Depuis plusieurs années, Émilien Jacquelin côtoie la biathlète française Chloé Chevalier, qui participe au circuit de la Coupe du monde aux côtés de sa sœur aînée Anaïs. Aucun des deux parents n’a d’enfant. Chloé Chevalier et Émilien Jacquelin ont partagé le même anniversaire en 1996.
Les athlètes, les carrières et les vies ont tous leurs moments déterminants. Ce 16 février 2020 est l’un de ceux d’Émilien Jacquelin et Chloé Chevalier. Tous deux étaient à Antholz ; elle à Martell. Il commençait sa poursuite, alors qu’elle venait de terminer la sienne.
Il était là tout le temps, alors qu’elle ne regardait qu’à la télévision. Lors de la remise des médailles ce soir-là, Chloé était là pour voir arriver son partenaire de vie. Regards sur un premier championnat du monde du point de vue de Chloé et Emilien… Mais aussi sur des moments de leur vie qu’ils ont hâte de revisiter !
Des ascenseurs pour les émotions
Nous l’avons ici en Italie. À quelques encablures de l’arène tyrolienne, site des championnats du monde de biathlon en 2020. Ma quête de la Coupe IBU venait de se terminer. Nous avons passé un peu de temps à l’hôtel avec Antonin Guigonnat et Fabien Claude à regarder la course à la télé avant de repartir vers Antholz.
Pour moi, cette journée a été une montagne russe d’émotions. Je suis passée d’épuisement et de dépression à cause de problèmes liés à ma propre race à des pleurs de bonheur. La distance n’atténue pas les sentiments. Peu importe à quelle distance vous vous trouvez, ils sont compétents.
Chloé peut ainsi vivre toute une gamme d’émotions intenses et variées rien qu’en sprintant devant la télé pendant trente minutes. Toute la gamme des émotions humaines, de la légère déception à la joie immense, en passant par la peur, l’incertitude et la fierté, passe par cet endroit.
Une balade exaltante ! « La partie concernant Courir et tirer sont vraiment flous dans ma mémoire. Le dernier tour est la seule partie qui me reste en mémoire. Un voyage d’adieu à couper le souffle. Jusqu’à la toute fin de la course, Émilien et le patron de la discipline, Johannes Boe, étaient au coude à coude. Je criais après Émilien sans arrêt ; ses techniques me déroutent, malgré son attitude posée.
Il était impératif que j’accélère le rythme en permanence. Vu de l’extérieur, il est facile de souhaiter que les choses aillent plus vite. En revanche, Émilien est un homme patient qui attend la bonne occasion pour agir. Il a choisi d’attendre l’arrivée de la dernière livraison. “Il avait tout à fait raison au final. Ce type était un monstre.
C’est simplement que je trouvais ça assez stressant de regarder la télé ! L’écran de télé résonne de la férocité de la course. La course, c’était tout simplement pour Chloé. 200 pour cent. J’avais peur pour lui, mais il était préparé, impatient et calme sous la pression. Lorsqu’il était sur la touche devient plus angoissant que de participer à la course elle-même !
Son statut de champion du monde m’était complètement perdu pour le moment. Les larmes me montèrent aux yeux ; J’ai été surpris et déconcerté, mais je n’ai pas réussi à comprendre. C’est une performance exceptionnelle. Parfois, on a l’impression d’être au cœur d’un rêve. Ainsi, il suffit souvent d’un bref répit pour sortir de nos rêveries.
Des moments plus ou moins longs, plus ou moins violents, plus ou moins surprenants… Le genre de moments qui vous ancrent. Ce n’est que lorsque je suis arrivé à Antholz pour la remise des médailles et que j’ai chanté la marseillaise sur scène que j’ai réalisé qu’il avait fait quelque chose.
vraiment fou ! “Soyez ici maintenant, soyez conscient de tout ce qui se passe en ce moment.” Partager ce moment privilégié avec lui m’a apporté une immense joie. Les Norvégiens se sont également joints aux festivités après la cérémonie de remise des médailles.
Je doute que j’aurais prêté autant d’attention à son résultat si je n’avais pas été présent. En revanche, nous pourrions immédiatement célébrer son triomphe avec lui. Donner… Une épaule sur laquelle pleurer quand ils échouent !
Sois toujours toi-même. Prendre un risque. Restez fidèle à qui vous êtes.
Émilien Jacquelin a « tout simplement » choisi d’être lui-même ce jour-là et de ne pas monter de projets élaborés. C’était une mentalité simple ; Je l’utilise fréquemment : DARE. “Je dois rester!” Selon Chloé, c’est vrai : il se passe quelque chose, à mon avis, depuis le début de la saison.
Son sang-froid et son calme avant chaque course m’ont laissé une impression durable. Ce jour-là, il a simplement continué à mettre cette mentalité en pratique, développant l’idée que tout était réalisable. À mon avis, ce n’était que la prochaine étape naturelle dans son ascension vers le pouvoir qui a commencé en début de saison. Un certain raisonnement.
Celui qui nous fait y croire, et puis notre croyance se renforce ! J’y avais foi, et j’avais travaillé pour cela… Il n’était pas impossible pour moi de viser un titre mondial ; J’ai compris que c’était un exploit, ou plus exactement une course parfaite. En passant, je me souviens m’être dit : « Émilien, tu vas être champion du monde » lorsque je faisais des tours autour de chez moi avant mon voyage à Antholz.
Je fais confiance à ma bonne étoile, celle qui inspire la prise de risque et le courage… “Qui ose gagne, dit-on !” Alors, ayez du courage, jouez à des jeux, prenez des risques, lâchez vos armes, tentez votre chance, croyez un peu en vous… Pour ne pas avoir de regrets.
Émilien se souvient avoir formulé ce plan alors qu’il était allongé sur la table de massage la veille de la poursuite. Le physiothérapeute Romain Dumont a entendu les mots suivants. Je l’ai prévenu que cette poursuite allait être intense.
Polkjuka a été pour moi la fin d’une semaine difficile de Coupe du Monde. Obtenir la sixième place au sprint mondial m’a donné le regain de confiance dont j’avais besoin pour me convaincre que tout était encore à ma portée après en avoir perdu beaucoup.
Je savais que je pouvais gagner ; Je n’étais qu’à 30 secondes. Maintenant que le mental est solide, il ne reste plus qu’à en tirer le meilleur parti et à le maintenir tout au long de la course. Dans toutes les conditions. “Même si c’était la partie la plus difficile, j’étais déterminé à rester fidèle à moi-même et à être authentique même si les enjeux augmentaient !”
L’athlète Émilien Jacquelin a accepté de devenir chroniqueur régulier à Ouest-France et Prolongation. Tout au long de la saison hivernale, le Français de 27 ans se confiera sur sa vie d’athlète professionnel, sa relation avec son entraîneur de biathlon, son amour de la photographie et ses réflexions. Première ce mercredi 28 décembre 2022, où Émilien Jacquelin nous confie sur la façon dont il vit cette période de Noël en tant qu’athlète de saison.
Saison chaque saison, le Français Émilien Jacquelin progresse, et il est actuellement troisième au classement général de la Coupe du monde de biathlon. Cet ambitieux athlète de 27 ans est connu pour sa force, sa spontanéité et son ambition, mais ila tendance à poser trop de questions et à vouloir jeter l’éponge si les choses ne se passent pas comme il le souhaite. Émilien Jacquelin a consacré divers temps à cultiver un esprit plus délicat.
Le Grenoblois Cash a accepté un poste de journaliste sportif pour Ouest-France et Prolongation, le produit numérique du service sportif. C’est un basketteur passionné et aussi un formidable photographe. Régulièrement, le biathlète se lâchera à travers des chroniques pour parler de son quotidien, de sa relation avec sa carabine, de ses passions, de ses pensées, etc. Ce premier épisode se concentre sur sa vie d’athlète toute la saison.
ncG1vNJzZmirpaWys7%2FTmqmsmpyktG%2By0WicpqGcnrKvecmamqqtlaG2r3nCqKeippVk