Janet Woollacott Cause Dcs
Janet Woollacott Cause Décès – Elle était son premier véritable amour. Janet Woollacott a épousé le chanteur Claude François en 1960, mais ils ont divorcé sept ans plus tard. À ce jour, elle est la seule ex-femme du chanteur à avoir comparu devant le tribunal. Non, Claude François n’a été marié qu’une seule fois.
Bien que de nombreuses femmes – de France Gall à Kathalyn Jones en passant par la mère de ses enfants Isabelle Forest – aient partagé sa vie, il n’a dit “oui” qu’à l’une d’entre elles devant le maire. C’était en 1960, la chanteuse avait 21 ans et l’heureuse gagnante était une femme nommée Janet Woollacott. Il était déjà sorti avec une jeune danseuse anglaise qui avait un an de plus que lui.
A ce jour, Claude François continue de jouer des percussions dans l’orchestre du Sporting Club de Monte-Carlo. Il rencontre Janet Woollacott alors qu’elle travaille comme danseuse dans des clubs de la Côte d’Azur. Même si Claude François n’a pas encore fait les choses en grand, il est déjà possessif et grossier : Janet Woollacott ne le soutient pas et le largue pour Gilbert Bécaud en 1962.
Cependant, le couple ne se sépare réellement qu’en 1967, et Claude François a déjà écrit une chanson à ce sujet.Janet Woollacott poursuit une carrière de danseuse, de chanteuse et même d’auteur. L’Anglais qui a touché le cœur des grands interprètes français de son temps a publié un mémoire sur sa vie aux côtés du chanteur et son ascension vers la gloire en 1998 intitulé Claude François : Les années oubliées. En 2011, à 71 ans, elle est décédée.
Janet Woollacott (ou Janette Woollacott) était une danseuse anglaise. Elle est née Janet Edith Woollacott le 4 novembre 1939 à Carlton, Royaume-Uni, et est décédée le 13 novembre 2011 à Clamart, Hauts-de-Seine. Elle était la première et unique épouse de Claude François.
Janet Woollacott, fille d’Arthur Woollacott et de Clarice Edith Burton, est danseuse dans les clubs renommés de la Côte d’Azur, notamment avec l’orchestre du Sporting Monte-Carlo, où elle rencontre Claude François en 1959. Ils se marient le 5 novembre 1960, à la mairie de Monaco.
Janet, danseuse débutante dans un premier temps, se produit dans les ballets d’Arthur Plasschaert à l’Olympia. C’est ici qu’elle rencontrera Gilbert Bécaud, l’homme qu’elle choisira finalement plutôt que Claude François car elle croit qu’il peut lui offrir un avenir meilleur.
Pour débuter sa carrière, elle enregistre deux chansons sous le pseudonyme de Janet en 1970 avec son mari Jean Sarrus ; il s’agissait des duos “Je t’aime… normal” et “Super-gangsters” de Gérard Rinaldi. Elle sort ensuite son premier album solo, Bénie soit la pluie, aux côtés de son quatrième mari, Dominique Perrier, en 1972. Elle écrit et interprète “Mama” et “The dream” en anglais pour le film Adieu blaireau de Bob Decout en 1985.
À partir de 1994, elle commence à se produire sur des albums de Stone Age aux côtés de son mari, Dominique Perrier, avec qui elle partage un partenariat musical.Vingt ans après la mort de son premier mari, elle et Christine Reynolds ont collaboré à un livre intitulé Claude François, les années oubliées, sorti en 1998.
Janet Woollacott a épousé Claude François le 5 novembre 1960, dans la principauté de monaco. Le couple s’est rencontré au Sporting Monte-Carlo. En 1961, ils s’installeront dans un appartement de Montmartre à Paris.
En 1962, alors que son mari tente de se faire connaître, elle est engagée comme danseuse pour le spectacle de Gilbert Bécaud à l’Olympia. En proie à ses charmes, il tente de conquérir son cœur. Elle se sépare bientôt de son petit ami qui, par un coup de chance, est destiné à devenir la nouvelle idole des jeunes, afin de pouvoir suivre Monsieur 100 000 volts. Il faudra encore cinq ans avant que le divorce ne soit finalisé, le 13 mars 1967.
Plus tard, elle se remarie encore et encore, d’abord avec le producteur Jean-Paul Barkoff, puis avec l’un des Charlot nommé Jean Sarrus, et enfin avec le musicien Dominique Perrier.Elle est décédée le dimanche 13 novembre 2011, à l’âge de 72 ans, des suites d’une longue maladie, et a été inhumée au cimetière de Clamart dans les Hauts-de-Seine trois jours plus tard.
Dans son nouveau livre, “Claude François, 14284 jours”, Fabien Lecoeuvre, responsable de la communication et de la carrière posthume de l’artiste, revient sur la dernière journée de travail de l’artiste, le 11 mars 1978.Même si Claude François est mort depuis près de 40 ans, son héritage continue de captiver les fans.
Sur la piste de danse, il peut unir les époques et il ne cesse d’inspirer la prochaine génération d’artistes. Mais ce sont les circonstances de sa mort, et non sa carrière, qui ont continué à déclencher des étincelles. Fabien Lecoeuvre, ancien attaché de presse star désormais en charge de la carrière posthume du défunt artiste, ajoute quelques rebondissements à l’histoire.
Alors que tout le monde a entendu le récit purement tragique des événements, Fabien Lecoeuvre nous dit que les choses ne se sont pas vraiment passées ainsi. Oui, Claude François s’est bel et bien électrocuté dans sa baignoire, mais non, il n’est pas mort seul et pas tout d’un coup.
Le 11 mars 1978, il tentait de réparer un adhésif incandescent à l’aide de machines après être sorti de la douche et est tombé au sol, sans même émettre un son. Il a dit : « Aidez-moi », et son amie Kathalyn Jones et son attachée de presse, Marie-Thérèse Dehaeze, ont entendu par hasard ce qu’ils pensaient être un appel d’urgence.
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